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Parachutisme: des records et des exploits
Parachutisme et exploits: records de saut en parachute, vitesse et formations. Approchez l’histoire de la chute libre.
Le parachutisme rassemble des adeptes en quête de sensations fortes. Ce domaine inclut le saut en parachute, la chute libre et diverses disciplines. L’une des raisons principales pour faire du parachutisme est l’attrait pour la vitesse et la vue panoramique. Au fil du temps, des exploits ont marqué l’histoire, avec des records de hauteur, de vitesse et de formation en groupe. L’exemple le plus connu reste celui de Felix Baumgartner, qui a réalisé un saut à partir de la stratosphère. Depuis, d’autres prouesses ont vu le jour, confirmant le dynamisme de ce milieu.
Les compétitions internationales sont aussi un point central. Elles attirent des équipes venues de divers pays, prêtes à rivaliser sur des épreuves de précision ou de synchronisation. Les meilleurs pratiquants s’entraînent toute l’année pour atteindre des objectifs ambitieux. Le matériel évolue sans cesse, et les progrès techniques facilitent le perfectionnement des performances.
Le public montre un intérêt grandissant pour ce loisir. Les centres spécialisés proposent souvent des sessions découvertes. Il est possible de réserver un saut en tandem ou de s’engager dans une formation approfondie, afin de maîtriser chaque phase du saut en parachute. Chacun peut ainsi comprendre les étapes avant de se lancer. Les retombées médiatiques liées aux records suscitent une curiosité grandissante. Ainsi, la fascination pour ces exploits reste solide, soutenue par des vidéos diffusées sur divers canaux. Le parachutisme s’impose comme une discipline accessible, où chaque record ouvre la voie à d’autres projets. Les passionnés y trouvent une pratique technique et riche en sensations, qui fait la part belle à l’esprit d’équipe et au dépassement de soi.
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Les records en parachutisme
Contexte historique des premières performances
Les premiers essais de saut en parachute remontent à la fin du XVIIIe siècle. En 1797, André-Jacques Garnerin effectue un saut depuis un ballon à hydrogène à environ 1 000 mètres au-dessus de Paris. Ce saut est considéré comme la première descente contrôlée en parachute sans structure rigide.
Au fil des décennies, les pratiques évoluent. Le parachutisme militaire s'impose dès la Première Guerre mondiale, puis se développe dans le domaine civil à partir des années 1950. À cette époque, les premiers clubs structurés apparaissent. Les sauts sont encore limités par le matériel, mais les pratiquants commencent à expérimenter la chute libre prolongée avant ouverture de la voile. Dans les années 1960, les premiers records de durée de chute libre et de hauteur de saut en parachute sont homologués par la Fédération Aéronautique Internationale (FAI).
Les records évoluent selon les axes de performance : altitude atteinte, temps de chute, vitesse maximale, ou figures en formation collective. Dès 1960, Joseph Kittinger, colonel de l’US Air Force, réalise un saut depuis 31 333 mètres. Ce saut reste longtemps la référence en hauteur de saut en parachute.
Évolution du matériel et impact sur les exploits
Le progrès technique influence directement les records. Les parachutes utilisés aujourd’hui n’ont plus rien à voir avec les voiles rondes d’origine. Les parachutes rectangulaires, appelés parachutes à voilure ram-air, permettent un meilleur contrôle de la descente. Leur maniabilité facilite les performances en précision d’atterrissage et en formations collectives.
L’apparition de systèmes d’ouverture automatique (AAD), d’altimètres électroniques, de combinaisons aérodynamiques et de casques intégrés avec enregistreurs vidéo ont transformé la manière de faire du parachutisme. Ces équipements offrent une meilleure sécurité, mais aussi une collecte plus fiable des données nécessaires à l’homologation des records.
La généralisation de la formation PAC (Progression Accompagnée en Chute) permet aussi à un plus grand nombre de pratiquants de se former rapidement à la chute libre autonome. Cela a conduit à une augmentation des tentatives de records collectifs et individuels.
Le développement de simulations en soufflerie verticale a également contribué à améliorer les performances. Les sportifs s’entraînent aux techniques de vol en chute libre sans monter dans un avion. Cela réduit les coûts de préparation. Une séance coûte entre 60 et 90 euros, selon la durée et le centre. Ces conditions d’entraînement ont un effet direct sur la qualité des figures techniques réalisées en vol.
Les exploits récents s’appuient donc à la fois sur l’évolution de la formation, la conception du matériel et l’amélioration des méthodes de calcul. Chaque nouveau record devient le résultat d’un entraînement rigoureux et d’une approche technique structurée.
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Les records de hauteur
L’exemple marquant du saut depuis la stratosphère
Le 14 octobre 2012, Felix Baumgartner, parachutiste autrichien, a effectué un saut en parachute depuis 38 969 mètres d’altitude. Ce saut a été réalisé depuis une capsule portée par un ballon à hélium. Il s’agissait du projet Red Bull Stratos, soutenu par une équipe technique regroupant des spécialistes en aéronautique et en médecine.
Baumgartner a atteint une vitesse maximale de 1 357,6 km/h durant la chute libre, dépassant temporairement le mur du son (Mach 1,25) sans assistance mécanique. Il a passé 4 minutes et 19 secondes en chute libre, avant l’ouverture du parachute à environ 2 500 mètres d’altitude. Il a ensuite poursuivi une descente sous voile jusqu’au sol.
Ce saut a permis de tester plusieurs équipements utilisés dans des conditions de très haute altitude, notamment une combinaison pressurisée intégrale, un système de respiration autonome, et des capteurs embarqués pour enregistrer la vitesse et la température. La température extérieure atteignait -70 °C à certains niveaux. Le saut a aussi contribué à la recherche sur les sorties d’urgence à très haute altitude pour les futurs projets de vol habité.
Les techniques employées pour atteindre ces altitudes
Les sauts à haute altitude exigent des moyens spécifiques. L’avion utilisé pour un saut en parachute classique atteint rarement plus de 4 000 mètres. Pour dépasser ce plafond, il est nécessaire d’utiliser un ballon stratosphérique, capable de s’élever au-delà de 30 000 mètres. Ce type de ballon contient de l’hélium ou de l’hydrogène. Sa montée dure généralement entre 1 h 30 et 2 h 30, selon les conditions atmosphériques.
Le parachutiste doit porter une combinaison pressurisée comparable à celles utilisées dans l’aviation militaire ou spatiale. L’absence d’oxygène rend nécessaire un système respiratoire embarqué. L’équipement comprend aussi une radio de communication, des capteurs de température, et une structure thermique de protection.
Avant la sortie de la capsule, le pratiquant effectue une vérification complète de l’équipement. La procédure inclut un checklist de pressurisation, une séquence de dépressurisation contrôlée, puis une sortie frontale. La trajectoire est stabilisée dès les premières secondes pour éviter une rotation incontrôlée.
L’ouverture du parachute est planifiée selon des seuils prédéfinis. En cas de défaillance, un système de réserve automatique permet l’ouverture du parachute de secours à une certaine altitude. Ce système est souvent programmé autour de 2 000 à 2 500 mètres, pour garantir une marge de sécurité.
Ces techniques sont utilisées aussi dans d’autres projets similaires, comme celui de Alan Eustace, ancien dirigeant de Google, qui a réalisé en 2014 un saut depuis 41 419 mètres, sans capsule pressurisée mais avec une combinaison spéciale reliée au ballon. Il a atteint une vitesse maximale de 1 322 km/h et passé 4 minutes et 27 secondes en chute libre.
Ces sauts à haute altitude restent exceptionnels. Ils nécessitent une planification complexe, un encadrement médical strict, et une préparation technique approfondie. Ce type d’opération dépasse largement le cadre habituel du saut en parachute grand public. Il reste réservé à des équipes spécialisées et à des contextes expérimentaux.
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Les records de vitesse et de durée en chute libre
Les moyens de mesurer la vitesse en plein vol
La vitesse en chute libre se mesure à l’aide d’altimètres électroniques, de capteurs GPS et de systèmes inertiels embarqués. Ces outils enregistrent les variations d’altitude et de déplacement sur des périodes très courtes. Ils permettent d’obtenir des données précises sur la vitesse verticale instantanée et la vitesse moyenne atteinte durant le saut en parachute.
Lors des sauts à très haute altitude, comme ceux réalisés depuis la stratosphère, la vitesse est influencée par la densité de l’air. La phase initiale se déroule dans une atmosphère très fine, ce qui permet d’accélérer plus rapidement. C’est ce phénomène qui a permis à Felix Baumgartner d’atteindre 1 357,6 km/h, et à Alan Eustace de dépasser 1 322 km/h.
Dans le parachutisme sportif, les vitesses les plus élevées sont obtenues dans la discipline appelée speed skydiving. Les pratiquants adoptent une position aérodynamique verticale, bras et jambes collés au corps. Cette posture limite la traînée. Les meilleurs compétiteurs dépassent les 500 km/h lors des compétitions officielles, mesurés sur une distance verticale de 3 000 mètres chronométrée entre 2 700 et 1 700 mètres d'altitude.
Les systèmes de mesure doivent être validés par des juges et conformes aux normes de la Fédération Aéronautique Internationale (FAI). La précision de ces instruments est essentielle pour l’homologation des records.
Les facteurs influençant la durée avant l’ouverture de la voile
La durée d’une chute libre dépend principalement de l’altitude de sortie et de l’altitude d’ouverture du parachute. Plus le saut commence haut, plus la chute dure longtemps. Dans un saut classique depuis 4 000 mètres, la chute libre dure environ 50 secondes avant ouverture de la voile à 1 500 mètres.
Certains pratiquants cherchent à augmenter la durée en retardant l’ouverture. Cela se fait dans le respect des marges de sécurité fixées par les règles nationales. Une ouverture trop basse réduit le temps disponible pour corriger une éventuelle défaillance de l’équipement.
D’autres facteurs influencent la durée :
- La position du corps : une posture stable et aérodynamique prolonge la descente. Une position plus horizontale augmente la traînée et ralentit la chute.
- Le poids de l’équipement : une charge plus importante entraîne une accélération plus rapide.
- La densité de l’air : en altitude, l’air est moins dense, la chute est plus rapide. Plus proche du sol, la vitesse diminue légèrement.
Le record de durée en chute libre contrôlée reste celui de Joseph Kittinger en 1960, avec 4 minutes et 36 secondes avant ouverture du parachute à 5 300 mètres. Cette durée est comparable à celle d’Alan Eustace, avec 4 minutes et 27 secondes depuis 41 419 mètres.
Dans le parachutisme civil, le cadre reste encadré par des procédures standard. Les écoles de parachutisme programment l’ouverture autour de 1 500 mètres, parfois plus haut pour les débutants. Il est possible de personnaliser cette hauteur dans certaines disciplines sportives, sous conditions réglementaires.
L’amélioration des performances dans la chute libre repose sur des calculs précis, une préparation rigoureuse et l’analyse des données. La combinaison de ces éléments permet aux compétiteurs d’optimiser leur technique tout en respectant les marges de sécurité.
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Les formations collectives en saut en parachute
Les figures de groupe et synchronisation
Les formations collectives en chute libre consistent à réaliser des figures techniques en vol, à plusieurs parachutistes, avant l’ouverture de la voile. Chaque participant doit se positionner avec précision pour former une structure géométrique temporaire. Ces figures peuvent inclure des cercles, des lignes ou des blocs de mouvements codifiés.
La discipline la plus connue est le Relative Work (RW), aussi appelé formation skydiving. Les compétiteurs s’agrippent momentanément aux bras, aux jambes ou aux combinaisons, pour maintenir la figure. Les séquences sont chronométrées sur une période de 35 secondes, généralement entre 3 000 et 2 000 mètres d’altitude.
Les records de groupe sont homologués en fonction du nombre de parachutistes connectés dans une même figure. En 2015, le record mondial de formation en chute libre à plat a été réalisé en Arizona, avec 164 personnes formant une structure simultanée à 5 500 mètres. Chaque position est contrôlée à l’aide de caméras embarquées pour valider le contact effectif.
Il existe aussi des variantes, comme le freefly en groupe, où les figures se construisent en position verticale (tête en bas ou pieds en bas). Ce type de chute implique des vitesses supérieures à 300 km/h, ce qui complexifie la coordination.
L'importance de la coordination en chute libre
La coordination en vol est un facteur critique pour les formations collectives. Chaque membre de l’équipe doit anticiper ses mouvements, respecter les trajectoires et maintenir une vitesse relative homogène. Une mauvaise synchronisation entraîne un écart de position qui empêche la formation de se maintenir.
Les équipes s’entraînent en soufflerie verticale, où les postures peuvent être répétées sans contrainte météorologique. Cette méthode permet de travailler les gestes précis, les transitions entre figures, et les procédures de sortie d’urgence en cas de perturbation.
Chaque participant suit un plan de vol déterminé. Les positions sont attribuées en fonction de l’expérience, du gabarit et de la capacité à stabiliser la chute. Les déplacements se font en douceur, en utilisant des mouvements de bras et de jambes pour ajuster la trajectoire.
Lors des compétitions, les performances sont évaluées par le nombre de figures correctes réalisées en 35 secondes, et par la fluidité des transitions. Les juges utilisent des enregistrements vidéo pour vérifier la conformité des contacts.
Le matériel influence aussi la coordination. Les combinaisons spécifiques sont conçues pour ajuster la portance selon la morphologie. Un parachutiste léger peut porter une combinaison plus large pour ralentir sa chute, et inversement.
Les formations collectives en saut en parachute exigent une planification précise, un entraînement rigoureux et une bonne lecture des flux d’air. Ces paramètres conditionnent la réussite des figures et la sécurité du groupe.
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Les grandes compétitions internationales
Présentation de quelques championnats majeurs
Les compétitions internationales de parachutisme sont organisées sous l’égide de la Fédération Aéronautique Internationale (FAI). Ces événements rassemblent les meilleures équipes et pratiquants spécialisés dans différentes disciplines de chute libre et de saut en parachute. Le World Parachuting Championship, organisé tous les deux ans, reste la référence mondiale. Il regroupe plusieurs disciplines réparties sur plusieurs jours.
D’autres compétitions majeures incluent la World Cup, les European Championships et le World Games, qui intègrent des disciplines aériennes comme le canopy piloting ou le freefly. Chaque épreuve suit des règlements techniques stricts. Les équipes sont évaluées selon des critères mesurés en temps réel à l’aide de capteurs et de vidéos embarquées.
Des pays comme les États-Unis, la France, l’Allemagne et la Russie figurent régulièrement en tête du classement par équipe. La France, par exemple, s’est distinguée à plusieurs reprises en formation skydiving et en précision d’atterrissage.
Le coût de participation varie selon la discipline. Pour un compétiteur, les frais liés à l’entraînement, au matériel et au déplacement peuvent atteindre 6 000 à 10 000 euros par an, hors soutien fédéral ou sponsoring. La logistique inclut les vols, l’encadrement technique, les sauts d’entraînement et les équipements homologués.
Les disciplines évaluées (précision d’atterrissage, freefly, etc.)
Les compétitions de saut en parachute comprennent plusieurs disciplines techniques, chacune avec ses propres critères d’évaluation :
- Précision d’atterrissage : le parachutiste doit toucher le centre d’une cible de 2 cm de diamètre. La distance entre le point de contact et le centre est mesurée en millimètres. L’épreuve se déroule à partir de 1 000 mètres d’altitude, sous voile uniquement.
- Formation skydiving : les équipes de 4 ou 8 personnes réalisent des figures codifiées en 35 secondes de chute libre, entre 3 000 et 2 000 mètres. Le score correspond au nombre de figures réussies.
- Freefly : discipline acrobatique, en binôme avec un vidéoman. Les participants enchaînent des figures en vol tête en bas, en position assise ou à plat. La vitesse dépasse souvent 300 km/h. Le jugement combine la difficulté technique et la fluidité.
- Canopy piloting (swooping) : cette discipline se déroule sous voile, en effectuant des manœuvres à basse altitude sur des zones marquées au sol ou sur l’eau. Les critères incluent la distance parcourue, la précision et la vitesse au passage de lignes définies.
- Speed skydiving : l’objectif est d’atteindre la vitesse verticale la plus élevée, mesurée sur une distance de 1 000 mètres, entre 2 700 et 1 700 mètres d’altitude. Les meilleurs franchissent les 500 km/h.
- Vertical formation skydiving : variante du formation skydiving, avec des figures réalisées en position verticale. Les compétiteurs doivent adapter leur vitesse et leur trajectoire en chute rapide.
Chaque discipline demande un entraînement spécifique et une maîtrise technique rigoureuse. Les compétitions permettent aussi de tester les innovations de matériel. Les résultats influencent parfois le développement des pratiques civiles et les standards des écoles de parachutisme.
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Les personnalités marquantes
Les sauts mémorables réalisés par des figures connues
Certains sauts en parachute ont marqué l’histoire en raison de leurs conditions techniques ou de la notoriété de leurs auteurs. Le cas le plus documenté reste celui de Felix Baumgartner, en 2012. Il s’est élancé depuis 38 969 mètres, atteignant 1 357,6 km/h en chute libre. Ce saut, soutenu par le programme Red Bull Stratos, a nécessité une capsule pressurisée et une combinaison spéciale pour résister aux conditions stratosphériques.
En 2014, Alan Eustace, ingénieur chez Google, a réalisé un saut depuis 41 419 mètres. Contrairement à Baumgartner, il n’a pas utilisé de capsule, mais une combinaison directement suspendue au ballon. Sa chute libre a duré 4 minutes et 27 secondes, avec une vitesse maximale de 1 322 km/h. Ce saut a dépassé le précédent record d’altitude.
Dans le domaine sportif, Patrick de Gayardon reste une figure technique reconnue. Il a contribué au développement de la combinaison à voilure souple, utilisée aujourd’hui en wingsuit. Il a réalisé de nombreux sauts expérimentaux et a joué un rôle clé dans les essais de trajectoire contrôlée en chute prolongée.
Cheryl Stearns, pilote et parachutiste américaine, détient plusieurs records dans les années 1980 et 1990, dont plus de 17 000 sauts à son actif. Elle a remporté de nombreux titres dans les compétitions de précision d’atterrissage.
Contributions de ces personnes au rayonnement du parachutisme
Ces figures ont apporté des contributions concrètes à l’évolution technique du saut en parachute. Le saut stratosphérique de Felix Baumgartner a permis de tester des systèmes de sécurité applicables aux vols à très haute altitude. Il a aussi sensibilisé un large public aux contraintes physiques liées à la chute libre.
Les recherches d’Alan Eustace ont été utiles pour le développement de systèmes autonomes de largage à haute altitude. Sa démarche, orientée vers les applications techniques, a intéressé plusieurs centres d’étude aéronautique.
Patrick de Gayardon a permis la vulgarisation de la wingsuit moderne. Il a modifié la façon dont les trajectoires sont anticipées en vol, en combinant la portance générée par la combinaison et les effets de surface. Ces évolutions ont ensuite influencé les standards de formation dans certains pays.
Cheryl Stearns a contribué à la structuration du parachutisme sportif féminin et à l’intégration des femmes dans les équipes de haut niveau. Elle a aussi participé à la promotion de la précision d’atterrissage comme discipline technique à part entière.
Ces trajectoires individuelles illustrent l’impact direct de certaines personnes sur les pratiques du parachutisme. Elles ont permis d’intégrer des éléments nouveaux dans les procédures, le matériel, ou les méthodes d’entraînement. Leurs travaux sont aujourd’hui étudiés dans les cursus spécialisés des centres de formation.
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Tematis s’adresse aux personnes en quête d’adrénaline ainsi qu’à celles qui souhaitent offrir un cadeau original. Grâce à la page dédiée à la Progression en Parachutisme, il est également possible d’envisager un apprentissage plus complet après un premier saut en parachute. De multiples emplacements sont disponibles pour s’élancer, chacun avec ses propres caractéristiques et panoramas. Ce choix varié permet à chacun de sélectionner l’emplacement qui lui convient et de vivre une véritable immersion dans l’univers du parachutisme.
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