Randonnée en Corse: faire le GR20

Randonnée en Corse: faire le GR20

Préparez-vous pour le GR20 en Corse avec nos conseils pratiques : étapes, coûts, risques et meilleurs moments pour partir.

Le GR20 est un sentier de Grande Randonnée situé en Corse, réputé pour ses paysages spectaculaires et la diversité de ses terrains. Ce chemin traverse l'île du nord au sud, sur environ 180 km, reliant Calenzana à Conca. La randonnée est divisée en 16 étapes qui varient en difficulté, certaines étant assez techniques. La durée totale pour compléter le GR20 est généralement de 12 à 15 jours, en fonction du rythme et de la condition physique des randonneurs. Ce parcours est accessible en été, de juin à septembre, période idéale pour profiter des meilleures conditions météorologiques.

Il est essentiel de bien se préparer, car les sentiers sont parfois accidentés, et certaines étapes comportent des dénivelés importants, allant jusqu'à 1 000 mètres par jour. Chaque étape propose des refuges pour dormir et se restaurer, mais il est recommandé de réserver à l’avance en haute saison. Le budget total pour la randonnée dépend des choix d’hébergement et de repas, avec un coût moyen de 50 à 70 € par jour. Ce sentier est un défi pour les randonneurs expérimentés, mais il est accessible à ceux qui sont bien préparés physiquement et mentalement.

Pourquoi faire le GR20 en Corse

Le GR20 attire les amateurs de randonnée pour plusieurs raisons. D'abord, les paysages corses offrent une grande diversité naturelle : des montagnes rocheuses, des forêts, des lacs et des vallées. La Corse étant surnommée "la montagne dans la mer", le GR20 permet de découvrir des panoramas uniques, parfois à plusieurs 1 500 mètres d’altitude, avec vue sur la Méditerranée. Ensuite, le GR20 est perçu comme un véritable défi personnel. Bien qu’il soit considéré comme l’un des sentiers de randonnée les plus exigeants d’Europe, il est accessible aux marcheurs bien entraînés. Ce n’est pas un parcours à prendre à la légère, mais il ne nécessite pas de compétences techniques particulières, simplement une bonne endurance. Les randonneurs sont aussi attirés par l’isolement du sentier, loin des routes et du bruit urbain, ce qui permet une déconnexion complète. Enfin, la randonnée permet de découvrir la culture corse, notamment grâce aux villages traversés et à la possibilité de goûter à la gastronomie locale dans les refuges. En résumé, faire le GR20, c’est une manière unique de découvrir l'île à son propre rythme tout en profitant d’une expérience immersive dans la nature.

Comment faire le GR20 en Corse

Le GR20 commence à Calenzana, au nord de la Corse, et se termine à Conca, au sud. Il est possible d’accéder au départ par l’aéroport de Calvi ou celui de Bastia, en prenant ensuite un taxi ou un bus pour rejoindre Calenzana. Le sentier peut être divisé en deux parties principales : la section nord, réputée plus technique, et la section sud, plus accessible. Les étapes du GR20 varient entre 4 et 8 heures de marche par jour, avec des dénivelés importants, notamment dans le nord. Le sentier est bien balisé, et des refuges sont disponibles à chaque étape pour dormir et se restaurer. Ces refuges sont gérés par le Parc naturel régional de Corse et proposent des dortoirs, ainsi que des repas simples à base de produits locaux. Il est conseillé de réserver à l'avance, surtout en haute saison, car les places sont limitées. Le prix d'une nuitée en refuge est d'environ 15 € par personne, et les repas coûtent entre 10 et 15 €. Il est également possible de planter sa tente à proximité des refuges pour un coût réduit. Il est recommandé de voyager léger, avec un sac à dos de 10 à 12 kg maximum, incluant des vêtements adaptés aux variations de température, de la nourriture, et de l’eau.

randonnée Corse: faire le GR20

Quand faire le GR20 en Corse

La meilleure période pour faire le GR20 s'étend de juin à septembre. Durant ces mois, les conditions climatiques sont les plus favorables, avec des températures clémentes et des journées plus longues. En juin, les randonneurs peuvent encore voir des névés sur certaines parties du sentier, notamment dans la partie nord, mais le climat est généralement agréable. Juillet et août sont les mois les plus chauds, avec des températures pouvant atteindre 30°C en journée dans les vallées. Ces mois sont aussi les plus fréquentés, avec une affluence importante dans les refuges, d’où la nécessité de réserver à l’avance. Septembre est un mois plus calme, avec des températures plus fraîches, particulièrement en altitude, mais toujours agréables pour la randonnée. Il est déconseillé de tenter le GR20 en dehors de cette période, car les conditions peuvent devenir dangereuses en hiver et au printemps, avec la présence de neige et des risques d'avalanches dans certaines zones élevées.

Les étapes pour faire le GR20 en Corse

Le GR20 est divisé en 16 étapes, chacune offrant des paysages variés et des niveaux de difficulté différents.

1. Calenzana à Ortu di u Piobbu

Calenzana à Ortu di u Piobbu (7h, 1 200 m de dénivelé positif) : Première étape technique, avec des montées abruptes offrant de superbes vues sur la côte.

La première étape du GR20, reliant Calenzana à Ortu di u Piobbu, est souvent considérée comme l'une des plus difficiles. Elle s’étend sur environ 12 km avec un dénivelé positif de 1 200 mètres, ce qui en fait une montée exigeante. Le départ se fait depuis le village de Calenzana, situé à 275 mètres d’altitude. Dès les premières heures de marche, les pentes se font raides, avec des sentiers rocailleux et parfois glissants. Il est recommandé de bien gérer son rythme pour ne pas s’épuiser dès la première journée.

Au fur et à mesure de la montée, le paysage évolue, offrant de magnifiques vues sur la plaine côtière et la mer Méditerranée. Cette étape offre peu d'ombre, il est donc important de partir tôt le matin pour éviter les fortes chaleurs. Il n’y a pas de sources d’eau tout au long du parcours, il est donc conseillé de partir avec une quantité d’eau suffisante.

Après environ 7 heures de marche, on atteint le refuge d’Ortu di u Piobbu, situé à 1 500 mètres d’altitude. Ce refuge permet de passer la nuit et de se restaurer, avec des repas simples à environ 12 €.

2. Ortu di u Piobbu à Carrozzu

Ortu di u Piobbu à Carrozzu (6h, 650 m de dénivelé positif) : Étape difficile, avec des passages rocheux.

Cette étape du GR20, reliant Ortu di u Piobbu à Carrozzu, est relativement courte mais reste technique. Elle s’étend sur environ 8 km avec un dénivelé positif de 650 mètres et une descente raide, ce qui la rend éprouvante pour les randonneurs. Le départ depuis le refuge d’Ortu di u Piobbu se fait à une altitude de 1 500 mètres, et rapidement, le sentier devient plus escarpé, traversant des zones rocheuses et des pierriers.

Les passages les plus délicats se trouvent dans la montée vers la crête, où il est nécessaire de bien s’équilibrer sur les rochers. Une attention particulière est requise, surtout par temps humide où les pierres peuvent devenir glissantes. Tout au long du chemin, les vues sont imprenables sur les montagnes corses, mais il est essentiel de rester concentré sur le terrain accidenté.

La descente vers le refuge de Carrozzu est également exigeante, avec des sections en lacets qui sollicitent les genoux. Il est conseillé d’utiliser des bâtons de marche pour faciliter les descentes. Le refuge de Carrozzu est situé à environ 1 270 mètres d’altitude et offre un hébergement en dortoirs pour environ 15 € par nuitée, avec des repas disponibles autour de 12 €.

3. Carrozzu à Asco Stagnu

Carrozzu à Asco Stagnu (6h, 800 m de dénivelé positif) : Passage par le pont de Spasimata, offrant une vue impressionnante sur le ravin.

L'étape reliant Carrozzu à Asco Stagnu est l'une des plus emblématiques du GR20. Elle s'étend sur environ 7 km avec un dénivelé positif de 800 mètres et dure environ 6 heures. Cette section est réputée pour son passage impressionnant par le pont de Spasimata, un pont suspendu au-dessus d’un ravin profond, offrant une vue spectaculaire sur la gorge en contrebas.

Dès le départ, le sentier grimpe de façon soutenue à travers une forêt, puis devient rapidement plus technique avec des passages rocheux. Le pont de Spasimata, situé à environ 1 000 mètres d’altitude, est un moment fort de l’étape, à la fois pour la beauté du paysage et pour l’aspect vertigineux de la traversée. Le ravin en contrebas ajoute un côté dramatique à ce tronçon, qui nécessite une attention particulière.

Après le passage du pont, le sentier continue de grimper vers le col de la Muvrella, où les randonneurs peuvent profiter de vues panoramiques sur les montagnes corses. La descente vers Asco Stagnu est abrupte et peut être difficile pour les genoux. Le refuge d'Asco Stagnu est accessible et propose des repas simples à partir de 12 €, avec des nuitées à environ 15 €.

4. Asco Stagnu à Tighjettu

Asco Stagnu à Tighjettu (7h, 950 m de dénivelé positif) : Étape alpine avec un col difficile.

L'étape reliant Asco Stagnu à Tighjettu est l'une des plus difficiles du GR20, avec un dénivelé positif de 950 mètres et une durée d'environ 7 heures. Ce tronçon est particulièrement exigeant en raison de son caractère alpin, avec des sections techniques et un passage par le col de Bocca di Stagnu.

Dès le départ d'Asco Stagnu (1 422 mètres d'altitude), le sentier commence par une montée raide qui s'accentue à mesure que l'on approche du col. Les paysages deviennent de plus en plus rocheux, et certains passages nécessitent de grimper à l’aide des mains. Le col de Bocca di Stagnu, à 2 015 mètres, est un point clé de cette étape, offrant des vues saisissantes sur les montagnes environnantes, mais également des conditions météo souvent imprévisibles. Il est conseillé de partir tôt pour éviter les orages en fin de journée.

Après avoir franchi le col, la descente vers le refuge de Tighjettu est technique et nécessite une grande prudence, notamment sur les pierriers. Le refuge, situé à 1 680 mètres d’altitude, offre un lieu de repos bienvenu après cette journée difficile. Les randonneurs peuvent y dormir pour environ 15 €, et des repas sont proposés autour de 12 à 15 €.

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5. Tighjettu à Ciottulu di i Mori

Tighjettu à Ciottulu di i Mori (6h, 700 m de dénivelé) : Descente vers la vallée du Golo, panorama sur le Monte Cinto.

L'étape reliant Tighjettu à Ciottulu di i Mori est plus modérée en termes de difficulté, avec environ 6 heures de marche et un dénivelé positif de 700 mètres. Dès le départ du refuge de Tighjettu à 1 680 mètres d’altitude, le sentier commence par une descente vers la vallée du Golo, l’un des principaux cours d’eau de la région.

Cette portion offre des panoramas magnifiques sur le Monte Cinto, le plus haut sommet de Corse, culminant à 2 706 mètres. Le paysage est dominé par des montagnes rocheuses et des vallées verdoyantes, offrant un contraste saisissant. La descente vers la vallée du Golo est relativement douce, mais nécessite tout de même de la prudence en raison des pierriers présents sur le chemin.

Après avoir longé la vallée, le sentier entame une montée progressive vers le refuge de Ciottulu di i Mori, situé à 1 990 mètres d’altitude, où les randonneurs peuvent profiter de la tranquillité et d’une vue imprenable sur les montagnes environnantes. Le refuge propose des nuitées à environ 15 € et des repas simples à partir de 12 €.

6. Ciottulu di i Mori à Manganu

Ciottulu di i Mori à Manganu (6h, 500 m de dénivelé) : Montée vers le lac de Nino.

L'étape entre Ciottulu di i Mori et Manganu est l’une des plus agréables du GR20, avec une durée d’environ 6 heures et un dénivelé positif modéré de 500 mètres. Le départ depuis le refuge de Ciottulu di i Mori, à 1 990 mètres d'altitude, débute par une montée progressive vers l’un des plus beaux sites naturels de la Corse : le lac de Nino.

Le sentier traverse d’abord des plateaux alpins, offrant une vue dégagée sur les montagnes environnantes. La montée vers le lac est régulière, sans difficulté technique majeure, mais nécessite tout de même une bonne condition physique. Le lac de Nino, situé à environ 1 743 mètres d’altitude, est entouré de prairies verdoyantes où paissent souvent des chevaux et des vaches en liberté, créant un cadre paisible.

Après une pause au lac, la descente vers le refuge de Manganu se fait en douceur à travers une vallée. Le refuge, situé à 1 600 mètres, offre des nuitées à environ 15 €, avec des repas à 12 à 15 €. C’est une étape idéale pour récupérer avant les sections plus exigeantes du GR20.

7. Manganu à Petra Piana

Manganu à Petra Piana (5h, 400 m de dénivelé) : Plus accessible avec un chemin relativement plat.

L'étape reliant Manganu à Petra Piana est l'une des plus accessibles du GR20, avec environ 5 heures de marche et un dénivelé positif modéré de 400 mètres. Cette portion du sentier est relativement plate, offrant aux randonneurs une journée plus tranquille après les étapes précédentes.

Le départ du refuge de Manganu, situé à 1 600 mètres d’altitude, se fait à travers des prairies et des plateaux verdoyants, avec de légères montées et descentes qui ne posent pas de grande difficulté. Le paysage est moins accidenté, et les vues sont ouvertes sur les montagnes environnantes, notamment vers les crêtes de la Brêche de Capitello.

Le sentier longe également plusieurs petits ruisseaux, offrant des points de ravitaillement en eau. En raison du relief plus doux et du tracé moins technique, cette étape est idéale pour récupérer après les journées plus intenses du GR20.

Le refuge de Petra Piana, situé à 1 840 mètres, est un point d’arrêt agréable pour la nuit. Les randonneurs peuvent y passer la nuit pour environ 15 € et se restaurer avec des repas simples proposés entre 12 et 15 €.

8. Petra Piana à Onda

Petra Piana à Onda (5h, 600 m de dénivelé) : Traversée de crêtes.

L'étape entre Petra Piana et Onda est marquée par une traversée de crêtes, offrant des vues panoramiques tout au long du parcours. Cette portion du GR20 dure environ 5 heures et comporte un dénivelé positif de 600 mètres. Bien que relativement courte, elle demande une attention particulière en raison des passages aériens le long des crêtes.

Le sentier commence au refuge de Petra Piana, à 1 840 mètres d'altitude, et grimpe progressivement vers les crêtes. Une fois sur les hauteurs, le chemin devient plus technique, avec des passages rocheux où il est parfois nécessaire de s'aider des mains. Cependant, les efforts sont récompensés par des panoramas spectaculaires sur les vallées corses et les montagnes environnantes.

La descente vers le refuge de Onda est plus douce, bien que le terrain reste accidenté par endroits. Ce refuge, situé à 1 430 mètres d'altitude, offre des hébergements similaires aux autres refuges du GR20, avec des dortoirs pour environ 15 € la nuitée et des repas simples à 12-15 €. Cette étape, bien que technique, est moins éprouvante que certaines des journées précédentes et offre une belle variété de paysages.

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9. Onda à Vizzavona

Onda à Vizzavona (6h, 900 m de dénivelé) : Étape centrale.

L'étape entre Onda et Vizzavona marque un moment clé du GR20, car elle constitue la transition entre la partie nord et la partie sud du parcours. Avec environ 6 heures de marche et un dénivelé positif de 900 mètres, cette étape centrale est exigeante mais gratifiante.

Le départ depuis le refuge d'Onda, à 1 430 mètres d’altitude, commence par une montée raide vers la crête de Punta Muratello, offrant des vues panoramiques sur les sommets environnants. Une fois au sommet, à 2 140 mètres, le chemin amorce une longue descente vers Vizzavona, traversant des forêts de pins et de hêtres, créant une atmosphère plus ombragée et agréable.

Cette étape est variée, alternant entre passages rocheux et sentiers forestiers, rendant la marche dynamique et intéressante. Vizzavona, situé à 920 mètres d’altitude, est une petite localité où les randonneurs peuvent se reposer après cette étape centrale. Elle est bien desservie, avec une gare permettant de rejoindre d'autres villes de Corse. Les refuges et gîtes à Vizzavona offrent des hébergements entre 15 et 20 € par nuit, ainsi que des repas à 12-15 €, parfaits pour se restaurer avant d’entamer la seconde partie du GR20.

La partie sud est plus accessible, les étapes continuent jusqu’à Conca, avec des arrêts réguliers dans des refuges.

Les risques et dangers éventuels

Le GR20 peut présenter des risques, notamment à cause des dénivelés importants et des conditions météorologiques imprévisibles en montagne. Les orages, fréquents en été, peuvent rendre les sentiers glissants et dangereux. Il est essentiel de bien vérifier la météo avant chaque départ. Certaines étapes, notamment dans la partie nord, comportent des passages techniques où des chutes peuvent survenir si l’on n’est pas prudent. L’épuisement et la déshydratation sont d'autres dangers courants, d’où l’importance d’avoir suffisamment d’eau et de nourriture. Enfin, en cas de blessure, les secours peuvent être longs à arriver en raison de l’éloignement des routes principales. Il est donc recommandé de partir avec une trousse de premiers secours et de ne jamais s’aventurer seul.

Bien préparer son séjour

Voici quelques conseils pratiques pour réussir votre randonnée sur le GR20 en Corse. Tout d'abord, l’équipement est primordial. Il est conseillé de porter des chaussures de randonnée robustes, qui maintiennent bien les chevilles, car les terrains sont souvent accidentés. Un sac à dos de 40 à 50 litres est suffisant pour transporter l’essentiel, avec un poids idéal entre 10 et 12 kg pour éviter la fatigue excessive. Il est indispensable de prévoir des vêtements adaptés aux variations de température : une veste imperméable, des couches légères et chaudes, ainsi qu’un chapeau pour se protéger du soleil.

Ensuite, il est recommandé de bien planifier votre parcours, notamment en réservant les refuges à l’avance. Pendant la haute saison, les places peuvent être limitées, donc il est préférable de passer par le site du Parc naturel régional de Corse pour effectuer les réservations. En termes de nourriture, vous pouvez opter pour les repas proposés dans les refuges ou apporter des aliments légers et énergétiques, comme des barres céréalières, des fruits secs, et des plats lyophilisés. Si vous choisissez de vous ravitailler sur place, le coût des repas dans les refuges est d'environ 10 à 15 €.

Pour l’hydratation, il est essentiel de partir avec au moins 1,5 à 2 litres d’eau par jour, car les sources ne sont pas toujours présentes le long des étapes. Pensez également à une petite trousse de secours comprenant des pansements, de la crème solaire, et des antidouleurs, ainsi qu’un téléphone portable chargé avec une batterie externe.

Enfin, il est recommandé de vous entraîner avant de partir. Le GR20 demande une bonne condition physique. Un programme de préparation avec des randonnées locales permettra de vous acclimater à la marche en montagne.

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